Historique : |
La feuille du Louvre est traitée avec une facture lourde et épaisse, de façon semblable à un Saint évêque (Madrid, Prado, inv. F.A. 65 ; Angulo Pérez Sanchez, 1977, cat. 140, p. 31-32, pl. XXIX), mis au carreau pour Vicente. L'iconographie du roi David rappelle celle de la suite des Royaumes d'Espagne (Angulo-Pérez Sanchez, ibid, cat. 212-213, p. 42-43, pl. LVIII-LIX) mais ne saurait être assimilée au grand format de cet ensemble homogène, peut-être projeté pour les funérailles de Philippe II à San Jeronimo el Real en 1621 (Angulo-Pérez Sanchez, 1969, p. 107). (...) (L. Boubli, Musée du Louvre, Département des Arts graphiques, ventaire Général des dessins de l'Ecole espagnole, XVIe-XVIIIe siècles, Paris, 2002, RMN, n° 53, p. 70, 71)
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