Historique : |
Il s'agit d'une étude pour un tableau intitulé "Roger et Angélique", conservé au musée du Louvre. Il existe plusieurs versions de cette composition, également appelée "Roger délivrant Angélique. La première d'entre elles, la plus ambitieuse, fut commandée à Ingres en 1818 et achevée l'année suivante pour servir de dessus-de-porte dans la salle du Trône, à Versailles. Le traitement assez sommaire du décor confirme la destination décorative de la toile. "Roger et Angélique" fut transféré au musée du Luxembourg dès 1824, puis au musée du Louvre en 1874. On connaît, outre diverses répliques représentant la seule Angélique, deux autres exemplaires de la composition complète : celle de la National Gallery, antérieure à 1839, et celle du musée Ingres, ovale, datée de 1841. La grande similitude formelle entre ces tableaux interdit de rattacher chaque esquisse à l'un ou à l'autre des exemplaires. Nous ne l'avons donc fait que lorsque nous y étions conduits par l'évidence. ; Il s'agit d'un tableau de J.A.D. Ingres, intitulé "Roger et Angélique" de 1819, et conservé au musée du Louvre à Paris ; voir aussi : Deux Jambes arrière droites de chevaux (MI.867.3567), Roger (MI.867.2107), Roger et Angélique (MI.867.2103), Roger et Angélique (MI.867.2104), Roger sur l'hippogriffe (MI.867.2105), Roger sur l'hippogriffe (MI.867.2106), Etude pour l'armure (MI.867.2108), Femme nue (MI.867.2110), Angélique (MI.867.2111), Jambière d'une armure (MI.867.2112) , Croquis pour le décor et les accessoires (MI.867.2113), Croquis pour le décor et les accessoires (MI.867.2114), Détails et accessoires (MI.867.2115) , Arrière-train d'un cheval (MI.867.2119), Arrière-train d'un cheval (MI.867.2120), Deux Jambes postérieures de cheval (MI.867.2121), Jambe gauche d'un cheval (MI.867.2122), Jambe arrière d'un cheval (MI.867.2122 bis) ; en rapport avec : Ingres, Roger et Angélique (Louvre)
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