Historique : |
Après la première guerre mondiale, la Société des Anciens Etablissements Duverdrey-Bloquel se spécialise dans la fabrication du réveille-matin. Cette mutation se fait avec Joseph Bloquel, qui conçoit le réveil Bijou dans les années 1920. Sa particularité tient au fait que son axe de balancier pivote sur deux rubis synthétiques. Ces derniers servent de palier en facilitant le roulement des engrenages. Ils ont un coefficient de frottement des pivots relativement faible, ce qui diminue l'usure du mécanisme. Dans les années 1930, le modèle connaît une évolution avec l'utilisation de la vis acier en remplacement des rubis synthétiques. Ces transformations semblent correspondre à l'apparition du " Bijou économique " proposée par Louis Guilbert, à son arrivée comme technicien chez Bayard (Société des Anciens Etablissements Duverdrey-Bloquel) à partir de 1925. Le Bijou économique est conçu pour supplanter le Bijou aux coûts de fabrication trop onéreux. (Source principale, CEPSNA, Les Réveils Bayard, plus d'un siècle de vie aliermontaise, Luneray, Bertout, 1999). Selon les sources à notre disposition, le bijou économique est référencé dans la grille des tarifs des années 1932, 1933, 1934 (Boîte archives N°17). Or, la date de fabrication ne peut être vérifiée en raison de l'absence dans nos collections de documents antérieurs à 1932. Différents modèles de réveil Bijou sont référencés : marque "Lion", rond, carré, rectangle, ovale, luxe, économique, fantaisie, plastic, pendulette, décagone. ; Technique ; Sa particularité tient au fait que son axe de balancier pivote sur deux rubis synthétiques. Ces pierres servent de palier en facilitant le roulement des engrenages. Ils ont un coefficient de frottement des pivots relativement faible, ce qui diminue l'usure du mécanisme
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