Artiste(s) : |
|
École : |
|
Titre : |
Les métamorphoses du jour (planche 62) : Il est assez de geais à deux pieds, comme lui. Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires
|
Domaine(s) : |
|
Désignation : |
série ; élément d'ensemble
|
Sujet représenté : |
|
Datation : |
|
Techniques : |
typogravure, papier
|
Mesures : |
Hauteur en cm de la feuille 17.7 ; Largeur en cm de la feuille 27.5
|
Historique : |
En 1828-1829, Grandville s'est vraiment fait connaître avec Les Métamorphoses du jour, une série de 70 scènes dans lesquelles des personnages humains sont représentés avec une tête d'animal en situation pour un rôle dans la comédie humaine ; voir aussi : Il est assez de geais à deux pieds, comme lui Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires (2005.0.79)
|
Conservé à : |
La Roche-sur-Yon ; musée municipal
|
Copyright notice : |
© La Roche-sur-Yon, musée municipal, © Service des musées de France, 2012
|
Crédits photographiques : |
© musée de La Roche-sur-Yon
|
Cette œuvre sur le portail Joconde
-